Lorsque j'ai appris que Jean-Pierre avait fait l'acquisition d'un engin motorisé à deux roues, je me suis immédiatement imaginé une KTM 400, une Honda HM 125, bref toute moto apte à affronter les dénivelés d'arsouille de Francheville.
Je le voyais déjà nous infliger quelques leçons bien senties du haut de son expérience inégalée de crossman averti, bondissant de roches en roches, faisant voler la pierraille en dérapages contrôlés à la poursuite d'un sanglier qu'il aurait ligoté comme un simple veau au centre d'une clairière humide du brouillard 'automne.
Bon, au constat dudit engin après recherches internet, j'avoue avoir du me rendre à l'évidence : les sangliers pouvaient dormir tranquilles.
En gros, car je ne dispose pas de photo sur le sujet, le pur-sang d'acier est un chopper de 125 cm3.
Force m'a donc été de pousser plus avant ma réfelxion. Et ce n'est que grâce à certaines photos cachées dans les méandres des clusters de son disque dur dument piraté que j'ai enfin compris le pourquoi du comment des motivations de Jean-Pierre.
Je sais prendre des risques en dévoilant cette vérite, mais Wikileaks a tracé la voie.
Or donc, ainsi que chacun le sait, Jean-Pierre adore la moto. Ou, plus exactement, il adore l'esrpit motard et son cortège de femmes faciles attirées par les gros cubes. J'ai ainsi déniché la preuve de ce penchant coupable, où Monsieur JAMP (son speudonyme dans le milieu Hell's Angels) s'adonnait à la drogue en compagnie de demoiselles accortes fascinées par ses exploits de cacou.
Tandis que M. JAMP fleurtait dans des rassemblements peu recommandables, sa pauvre épouse se lamentait seule dans son boudoir. Soupçonneuse, Madame avait toutefois préparé quelques surprises à l'époux fautif.
Bien entendu, M. JAMP n'était pas dupe. Il redoutait plus que tout le retour dans son foyer.
C'est pourquoi Mme JAMP, en parfaite sirène, imagina un moyen incontournable de rappeler son époux auprès d'elle.
L'histoire semble bien se terminer car le mari revint. Mais, à sa place, je me méfierais de l'eau qui dort.